mercredi 27 octobre 2010

Notre mission accomplie

Chers lecteurs,

On repart la machine ... pour une dernière fois.

Lorsque Corey et moi avions démarré DJT, notre mission était de faire connaître à vous, plèbe, l'extraordinaire talent de hockeyeur d'un certain joueur qu'avait obtenu Robert Gainey en échange de Steve Bégin. Un nom : Doug Janik.

Maintenant, Doug Janik et tabarnak sont devenus inséparables. Lorsque vous voyez ou lisez le nom de Doug Janik, vous rajoutez toujours le tabarnak avec un certain sourire. Oui oui, je vous le dis. Et si ça ne vous arrive pas, ben vous êtes vraiment caves. On a laissé notre marque dans la vie de tous les habitants de la Terre, et ceci est indélébile.

Nous aimerions remercier Patrick Lagacé qui nous a découvert et qui a parlé de nous quelques fois sur son blogue, ce qui nous a fait un bon coup de pub, car à part nos mères, et la tienne, y'a pas grand monde qui connaissait DJT les premiers jours. De plus, nos compatriotes des interwebs, notamment les gars du Sportnographe avec qui nous nous sommes tirés la pipe à quelques occasions. Nous aimerions remercier le lectorat féminin avec qui nous nous sommes fait faire des pipes à quelques occasions. Tous les acteurs qui ont eu un rôle à jouer de près ou de loin par leur implication dans DJT.

Mais principalement, nous aimerions vous remercier chaleureusement d'avoir pris de votre temps pour venir lire nos critiques constructives, de bon goût ; nos analyses sérieuses et jamais teintées d'humour. Nos premiers lecteurs, nos fans inconditionnels et conditionnels, le gars saoûl qui s'est déguisé en fille au Centre Bell avec une énorme pancarte DougJanikTabarnak.com (on vous le jure, on a reçu une photo !), les gens qui nous détestaient (et qui nous détestent encore), on vous remercie tous et chacun incommensurablement.

Corey et moi avions manqué de jus tel un Luongo lorsqu'arrivent les siries niminatoires en avril dernier et notre passion s'est tourné vers autre chose. Corey s'est achetée une grosse torche russe, et pour ma part, je suis entrain de compléter, Rotin : the History of America, ma trilogie de film portant sur le rotin avec Robert De Niro, Meryl Streep et Guillaume Lemay-Thivierge. En effet, en juillet 2009, je vous parlais de mon projet d'en faire un film de quatre heures, une histoire d'un drame psychologique entourant une chaise de rotin mal fabriquée, mais je crois qu'en faire un trilogie approfondirait nettement plus la richesse psychologique et la détresse humaine de la chaise en rotin. J'ai donc tout recommencer à zéro, et c'est pourquoi je dois mettre DJT de côté.

DJT est mort, mais pas

Doug Janik, tabarnak.

Il est 3 heures du matin, nous cessons nos activités commerciales comme disait Claude Blanchard

Je vous écris sans porter de chemise ou de pantalon et j'ai emprunté le linge de mon épouse pendant qu'elle est partie me faire une sandwich à la dinde, ranch et bacon et m'apporter une canisse de Grolsch. Hey, c'est comme ça que je fête l'Halloween et c'est la tradition chez les Turgeon depuis au moins...une génération. J'innove et l'Halloween, tu fêtes ça en mettant les vêtements de ta femme pendant qu'elle est dans la cuisine à s'assurer que tu te bourres la face comme il faut.

Ceci dit, pendant mon absence du blogue, beaucoup de choses ont changées dans ma vie.

Je me suis pogné une mariée Russe dans un catalogue et elle était déjà enceinte. Elle était en spécial quand j'ai passé ma commande. Le hic c'est que je savais pas qu'elle était enceinte et c'était pas spécifié non plus donc j'en ai déduis qu'elle était un peu chubby et ça me convenait. Dans ce cas, elle allait être mal placée pour me critiquer quand j'allais nourrir notre enfant avec des cheeseburgers frits pour déjeuner. Ben non, c'est des farces !

Bref, avec ma nouvelle vie familiale, mon travail et ma passion nouvellement découverte pour les films pornos de donjons Allemands*, mon temps consacré à l'écriture de niaiseries a baissé graduellement.

D'avoir des gens qui répondaient positivement ou négativement à nos articles, c'est un honneur. On a capté votre attention et en retour, vous nous donniez du feedback constructif et intelligent et on peut difficilement demander mieux. J'écrivais à temps perdu et je serai le premier à dire que j'enlignais pas les chefs-d'oeuvres (les fautes oui, par contre) mais en gros, je suis heureux de ce que j'ai fait pendant mon temps ici et encore plus content que des gens ont pris le temps de nous lire.

Parce qu'on s'entend pour dire que des blogues, y'en a en crucifix de jéricho. Mais des blogues avec un contenu aussi douteux ou dénué de bon goût par moment ? Je pense que DJT s'est démarqué et pas toujours de la bonne manière (tousse*La Maison de Maxim Lapierre*tousse...article merdique). Ceci étant dit, quel honneur ça été de voir certains de nos articles sur le site du Sportnographe et d'écrire pour vous.

Je vais terminer en force en spécifiant l'astérisque parce que finir fort c'est la spécialité de

Doug Janik, tabarnak. Merci à tous !

* (à cet effet, je suis fier de dire que j'ai la 794 ème plus importante collection de German dungeon porn en Amérique du Nord)

mercredi 14 juillet 2010

Ilya Kovalchuk signe avec le HEAT de Miami

Le suspense est terminé; Ilya Kovalchuk a annoncé qu'il avait signé un contrat avec le Heat de Miami. Après avoir eu des discussions avec notamment les Rois de Les Anges et les Diables de Nouveau Chandail, Kovalchuk a accepté un contrat de six ans à raison de dix millions par année avec le Chaleur de Miami.

DJT s'est rendu à Miami et a obtenu une photo exclusive de Kovalchuk dans son nouvel uniforme


Kovalchuk gardera le numéro 17 à Miami

Dans un court entretien, le nouveau porte-couleur du Chaleur a déclaré : «Je voulais jouer pour un club compétitif. Quand j'ai vu que Lebrun Jean, Criss Boboche et Diane Raid avaient tout à tour signé à Miami, je me suis dit que ce club serait le meilleur. Mon agent a tout de suite communiqué avec le Chaleur».

J'ignore comment il réagira lorsqu'il apprendra que les trois autres ont signé pour six ans mais à des salaires de 110.1 et 107.5 millions de dollars.

Des vrais salaires dignes de

Doug Janik, tabarnak.

mardi 29 juin 2010

La rue Crescent est en deuil

Selon ce que DJT a appris sur le bord de la plage et refilé au Réseau Des Sports, le pas gentil Serge Cossette a été échangé aux Prédateurs de Nashville en retour du centre Poussièredans Boîte et du gardien Daniel Hélice, tous deux joueurs autonomes sans restriction.

À la réception de la nouvelle, l'Association des Marchands de la Rue Crescent s'est dite complètement à terre. Steve Siozos, co-président et chef des opérations a déclaré : «C'est terrible. Monsieur Kostitsyn était perçu comme un roi ici. Il était un excellent client pour tous les établissements de nuit. C'est vraiment une catastrophe.»

Petit coup de fil auprès de Bernard Ragueneau, propriétaire du club Thursday's : «Je suis flabbergasté. Le départ de monsieur Kostitsyn pour Nashville, c'est pas mal plus pire que le départ du Grand Prix de Montréal l'année passée.»

Pour ce qui est du Light UltraClub, le propriétaire de ce club huppé est à la croisée des chemins : «Je songe sérieusement à mettre la clé dans la porte. Sergeï représentait plus de 75% de mon chiffre d'affaire. J'ignore par quel moyen je pourrai survivre sans mon meilleur client"

La rue Crescent est officiellement en deuil. L'Association des Marchands de la Rue Crescent organise une vigile ce vendredi soir dès 23h, en l'honneur du regretté troiscouleureux, Serge Cossette. Les drapeaux seront mis en berne pour une durée indeterminée.

De plus, la Croix-Rouge s'est mis en branle pour organiser un fond d'aide humanitaire aux marchands de la rue Crescent, et elle s'organise présentement pour venir s'établir dans la métropole. Jean Charest serait sur le point d'annoncer une mise sur pied d'une cellule de crise.

Pour terminer, des sources crédibles m'ont confirmé que Vision Mondiale aurait contacté Alain Zouvi pour une émission spéciale d'adoption de propriétaires de bars montréalais.

Jamais le départ d'un joueur du CH n'aura fait autant de remous depuis celui de

Doug Janik, tabarnak.

Sur le bord de la plage

Ah, des vacances. Que c'est bon. Une plage, des gougounes g-string, un speedo, une chaise longue, un parasol, une grosse glacière, un frisbee pis des hommes nus avec le chest huilé.

Tout pour bien réussir un congé fort mérité pour Nathan Callahan et Corey Turgeon.

Tellement en congé qu'on a même pas pris la peine de vous informer que Doug Janik avait signé deux ans de plus avec les Rouges Ailes de Détroit il y a de cela plus de deux semaines (mais, par contre, on trouve le temps pour écrire des niaiseries sur le Twitter de DJT).

Doug Janik allait devenir joueur autonome sans restriction. Pis tout le monde parlait de Patrick Marleau et Thomas Pelletier qui allaient le devenir, mais on s'entend que LE impact joueur c'est Doug Janik. Fuck Kovalchuk.

Parlant de joueurs autonomes, c'est jeudi que s'ouvre le marché de ces dits joueurs. On va probablement vous concocter un petit quelque chose, du genre un résumé de la journée. On ne fera pas de couverture en direct, car Corey a rendez-vous chez la coiffeuse pour sa permanente et moi c'est ma journée où j'arrose mon asphalte en vociférant contre les passants du troisième âge. Ajoutez à ça notre non-possession de iPhone ou de Blackberry car VOUS ÊTES FUCKING TROP CHEAP POUR NOUS EN PAYER UN. Voilà, c'est dit.

Pis après ça, on retourne en vacances pour célébrer le gros contrat de

Doug Janik, tabarnak.

vendredi 28 mai 2010

Mise au point

Comme vous l'avez bien constaté, depuis un mois et demi environ, notre production de textes a chuté. Pis encore, aucun papier n'a été posté depuis deux semaines et (presque) trois jours.

Nous tenons à nous excuser sincèrement à notre lectorat. De vous avoir négligé. De ne pas vous avoir donné l'heure juste. Vous ne méritez pas ça. Je trouve que nous vous avons manqué de respect, car nous sommes disparus dans la brume sans crier gare ou ta mère en shorts.

C'est un ensemble de circonstances qui expliquent notre absence.

Tout d'abord, j'ai eu à m'absenter au cours des derniers mois pour passer d'innombrables tests médicaux et d'interminables heures dans le système de santé québécois. DJT me demandant beaucoup de temps (c'était presque rendu un job à temps plein), j'ai dû réduire ma présence sur le blogue, santé oblige. Mais je ne vais pas mourir, rassurez-vous ... pas tout de suite en tout cas.

De plus, moi et Corey écrivons sans relâche (ou presque) depuis l'ouverture du blogue en février 2009. Nous avons écrit près de 350 textes durant cette période. Pas si mal, je trouve, pour deux citoyens qui ne sont pas journalistes, ni éditorialistes et qui ne sont pas rémunérés.
Et il vient un moment où on se vide. L'inspiration part en vacances. On a le goût de faire autre chose et lâcher RDS, CKAC & le net en général. C'est ce qui nous arrive présentement. Ça doit être le métier qui rentre !

Bref, tout ce que nous avons besoin, c'est de repos. Je croyais être capable de me rendre jusqu'à la fin des séries, mais physiquement, pour moi, et inspirationnellement pour nous deux, ce n'est pas possible.

Est-ce que cela signifie la fin pour Doug Janik Tabarnak ?

FUCKING HELL PAS PANTOUTE !

Nous serons de retour pour la prochaine saison. Probablement que nous couvrerons le marché des joueurs autonomes et le camp d'entraînement du CH. Et si nous nous aperçevons que nous sommes incapable de repartir la machine, nous vous le ferons savoir très tôt, tout simplement.

Nous vous invitons à garder un oeil sur TWITTER et sur FACEBOOK, car les habitués le savent, nous nous faisons voir sur ces sites quand nous postons du nouveau.

Encore une fois, en mon nom et en celui de Corey Turgeon, veuillez accepter nos sincères excuses et nous espérons que vous ne quitterez pas le bateau à cause de ce contretemps.

Longue vie à

Doug Janik, tabarnak.

mardi 11 mai 2010

Fuck le hockey

Bon ben, ça ne marche pas. Notre tactique ne fonctionne pas.

Ici à DJT, on est écœuré du hockey. On s'était dit que si on ignorait les Canadiens et qu'on écrivait quasiment pu sur le blogue, les p'tit gars tricouleurs auraient de la peine de se faire ignorer par les deux plus beaux journalistes sportifs et qu'ils se tueraient eux-mêmes tels des lemmings en période de migration.

Mais non toi. Ils font à leur tête.

Depuis qu'on les ignore, on a découvert une panoplie d'autres activités qui n'ont strictement rien à voir avec le hockey. La littérature par exemple, le sport, respirer, manger, dormir, des trucs comme ça.

Là, on ne sait plus quoi faire. On a penser faire une anti-vague de désencouragement sur Facebook, mais je suis perplexe face à la participation de la populasse québécoise qui fait 106 de fièvre de séries miniminatoires.
Faire exploser le Centre Bell ? Pas question de maganer une de mes chemises pour la cause.

Nous sommes découragés, le CH gagne. Pas de chiâlage collectif. On est rendu au point où le monde AIME HAL GILL. C'est notre Hal Gill, allez tous chier.

Fuck le hockey.

Mais pas

Doug Janik, tabarnak.

mardi 4 mai 2010

Halak n'est pas parfait

Le Canadien participe aux séries éliminatoires grâce au brio du gardien Jaroslav Halak. Le Canadien est venu à bout des Capitales du méchant Ovechkin grâce au brio du gardien Jonathan Alain. Il est candidat au trophée Bill-Masterton, qui récompense le joueur ayant démontré de la persévérance, de l’esprit sportif et du dévouement envers le hockey dans la LNH, a remporté 24 victoires en 43 parties amorcées, a une moyenne de buts alloués de 2.40 et un coefficient d'efficacité de .924.

En séries éliminatoires, il a remporté, en date de ce soir, 5 victoires en 8 parties amorcées, a une moyenne de 2.68 et une excellente efficacité de .931.

Il est maintenant une star auprès des amateurs, et fefans (merci R. Tremblay) du Canadien à Montréal et travaille très fort à l'entraînement depuis bien avant son arrivée dans l'ancienne Ville-Marie.

Mais Halak n'est pas parfait.

Mais voyons Nathan le Tannant, pourquoi déclares-tu ça ? Halak c'est un dieu pis y botte des fesses de Russes. Peut-être. Mais il n'a pas LE critère pour jouer à Montréal : son nom s'crie pas ben.

Prenez Cristobal Huet par exemple. U-ÈÈÈÈÈÈÈ. Simple, court, distinctif, efficace. Deux syllabes qui se distinguent l'une de l'autre. Facile à crier, même saoûl (facteur très important). Bref, LE nom parfait à crier durant une joute.

Mais Halak ? Ciboire, Halak. Plutôt, AAAAA-AOUAAAAH comme on peut entendre. Ben, entendre, c't'un ben grand mot. Ça sonne comme le cul pis tu fais pas la distinction entre le début et la fin du nom lorsque le chant part et que tu veux te joindre à la partie. C'est chaotique et poche et ça sonne comme une chorale d'homos erectus en rut en chassant le mammouth. Bref, Halak, change pas ta façon de goaler, mais change ton nom, bout d'viarge.

Nous à DJT, on t'appelle Jonathan Alain. A-LIN ça sonne pis c'est s'a coche. Pis tu vas plaire aux gens du PQ. Adopte ce nom, tout comme nous avons adopté

Doug Janik, tabarnak.

samedi 1 mai 2010

Blanc

Les meilleurs textes se sont ceux qu'on n'écrit ça.

Ce texte est donc un chef-d'oeuvre à la hauteur de

Doug Janik, tabarnak.

mercredi 28 avril 2010

Unbelievhalak

Unbelievhalak, le CH a éliminé la meilleure équipe de la LNH.

À vos roches, on s'en va sur la Ste-Catherine. Go go go les idiots.



Arsène Halak, le voleur des récentes séries

Doug Janik, tabarnak.