Le Centenaire est un fiasco, surtout sans Doug Janik. Tout le monde est au courant.
Pourquoi Corey et moi-même n'avons pas écrit du week-end, pauvre petite plèbe junkie de DJT ?
Eh bien, nous nous préparions. Pas à l'avènement de Doug Janik, ni même à une future apparition de ce Messie dans une édition de Playgirl. Non
À beaucoup plus grand.
Ce mercredi marquera le neuvième anniversaire de la mort du plus grand joueur de tous les temps à avoir endossé le chandail tricolore, et surement l'un sinon LE plus grand joueur à avoir vu le jour : Maurice Richard.
Mercredi, je vous invite à vous (re)taper le film sur sa vie. Et que tous les joueurs du CH le regardent aussi, ça leur fera pas de tord.
Essayez de regarder ceci sans avoir larme à l'oeil, surtout au moment où son grand ami, Butch Bouchard vient le rejoindre. Un pur moment d'anthologie très touchant
Et pour terminer sur une note plus légère, car tsé, les moments émotionnels, c'pour les femelles, genre, nous hommes-qui-pissent-deboutte, voici encore une fois le Rocket qui se fait donner un 2 minutes pour excès de beauté.
Quand il lance,
l'Amérique hurle.
Quand il compte,
les sourds entendent.
Quand il est puni,
les lignes téléphoniques sautent.
Quand il passe,
les recrues rêvent.
C'est le vent qui patine.
C'est tout le Québec debout
Qui fait peur et qui vit.
- Félix Leclerc
Merci, monsieur Richard
lundi 25 mai 2009
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J'ai eu l'immense prévilège de voir jouer Maurice à la télé mais une seule fois . C'était lors de sa dernière saison (59-60) . Ti cul de 9 ans, je ne réalisais pas ma chance alors . Mais je me souviens parfaitement de regarder la Soirée du Hockey entre mon père et mon oncle et d'entendre ceux-ci déplorer que Maurice était fini . Car je crois que ses genoux étaient trop usés pour lui permettre de flamboyer comme avant .
RépondreSupprimerVoilà . Je vous ai livré mon précieux morceau de Maurice à moi . Moi qui aujourd'hui n'oserait même pas employer "grecian formula" car mes rides,mes bajoues, ma bédaine et mes oreilles tombantes pleines de poils trahiraient de toute façon l'outrage de mes 58 ans .
Bravo le jeune de perpétuer le souvenir de ce grand homme .