Laraque a été influencé

Le cas Georgio Laraque et son association à une boisson énergisante contenant de l'ALCOOL a été couvert en long et en large mais un très important détail est régulièrement laissé de côté. La mise en scène du désormais célèbre message publicitaire mettant en vedette l'envoyeur-de-fax-à-son-adversaire-avant-de-dropper-les-gants du Canadien et une myriade de rutilantes jeunes dames en tenue légère fût monté de toute pièce.

Je m'explique, il semblerait qu'un ou deux membres de l'équipe de tournage aurait suivi Georges dans ses moindres déplacements pour connaître l'emplacement de sa résidence primaire et ils auraient envoyé les dames sur sa rue question de simuler une partie de hockey précédée d'une séance d'échauffement intentionnellement longue pour attirer l'attention du # 17.

Le plan fonctionna et Georges sorta de sa demeure et il a été immédiatement convaincu par les demoiselles de faire la promotion de la boisson. Il aurait certainement pu refuser l'invitation et rentrer chez lui en colère dû à la supercherie.

Entre en scène, Couille-Bleu.

Le petit personnage grivois bleuté n'a pas eu besoin de beaucoup de temps pour charger les hormones de Jorge et l'inciter à se précipiter dans la mêlée. Ce que l'histoire ne dit pas est que la partie de hockey se termina rapidement et qu'une tempête de vêtements se manifesta.

Des cris stridents et graves résonna et les voisins éventuellement attirés par le vacarme ont été témoins d'une scène disgracieuse et ce n'est pas ce que vous pensez. Les dames n'ont pas envoyé de textos avant d'anéantir l'homme fort du CH et le tout se serait terminé avec Georges transformé en casier humain à bâtons de hockey debout dans une flaque de ses propres fluides dont je vous épargnerai la description.

Il a fallu l'aide de professionnels de la santé et de pompiers armés de pinces de survie pour extraire les quelques 10 bâtons de la cavité anale de Mr. Laraque. Nul besoin de vous dire que l'amitié entre Georges et Couille-Bleu fût rompu sur-le-champ...en fait, pas mal comme son rectum. Une histoire qui donne froid dans le dos de tous même celui de

Doug Janik, tabarnak.