Carey Price est raciste

Carle Prix nous a fait la démonstration hier soir qu'il était, tenez-vous bien ... un RACISTE. Oui, mesdames, mesdemoiselles et mesplottes (fuck les messieurs), Carle Prix est un vulgaire raciste.

Mais, mon beau et sexy et viril et super de full beau et alléchant Nathan le tannant, comment peux-tu affirmer une si affirmative affirmation au sujet du numéro 31 ? me direz-vous.

C'est que, Carle Prix a contracté un virus cet été, un virus populaire à Montréal et chez certains grands penseurs de 110% et CKAC : il n'aime pas les Russes.

Engagé à titre de mercenaire ultra-secret par Staline Gainey, lui aussi raciste, il a pour mission d'éliminer tous les Russes de l'équipe. Pour se faire, il a passé son été dans une base ultra-méga-secrète avec le chef spirituel Brian Burke.

Hier soir, Carle Prix a délibérément entaillé profondément la cheville gauche d'André Marquis lors du deuxième but des Érable Feuilles de Toronto. Marquis a subit une opération cette nuit pour réparer un tendon lacéré et manquera entre deux à quatre mois d'activité.

Le gardien du CH s'est fait sévèrement sermonné par Staline Gainey : «J't'avais dit la jugulaire du cou tabarnak, pas la cheville, innocent» ai-je ouïe devant la porte entrouverte où se trouvaient nos deux comparses.

Exit Kovalev, exit Serge Cossette (parlant de Cossette, allez lire cette entrevue où il pleure son incompréhension), et maintenant, exit Marquis.

Ce ne sont pas seulement les Russes qui sont visés, mais l'opération de nettoyage s'appliquerait aussi pour tous les autres Européens.

Sacouille Corriveau & Robert Langue ne sont pas de retour.

Pourquoi croyez-vous que Jonathan Alain, qui a connu un meilleur camp d'entraînement que Carle Prix, n'était pas en poste hier soir ? La grippe de Romain Hammer All durant tout le camp d'entraînement, un adon, je suppose ? Voilà, la suprématie de Staline et de son acolyte.

Paraît que la prochaine victime sera André Cossette, le dernier Russe (Biélorusse, mais bon, y'a le maudit russe dedans) encore actif dans l'équipe du Canadien.

Méfiez-vous, les Thomas Pelletier et Jérôme Spénard de ce monde, car Carle Prix manie aussi bien son bâton que ses patins. Par contre, il ne peut être aussi dangeureux que

Doug Janik, tabarnak.