mardi 3 novembre 2009

Difficile soirée pour Andrey "Red Light" Pricicot

Ah blâmons la défensive !

Ah c'est d'la faute à Bergeron !

Ah c'est un but chanceux des Thrashers !

Ah c'est d'la bullshit !

C'est André Racicot 2009 devant le filet mais la populasse le connait sous le nom de Carey Price. Benny Brunay et Peter Hood-Dechar justifiaient un peu gros les buts que Pricicot accordait mais le gars est pas capable de faire les arrêts importants.

On a nous assez écoeurés avec le fait que l'attaque soutenait pas Andrey comme il faut et lui rendait pas la tâche facile. Ce soir, Bernard Gionet a marqué à deux reprises, Camille et Pelletier ont surpris Pavelec et ont contribués à la remontée des Montréal de Canadiens.

Racicot 2.0 est vu comme un grand talent et il a seulement 22 ans. Faut-il qu'il passe du temps à Hamilton pour reprendre du poil de la bête ? Faut pas se conter de peurs, ça arrivera pas. J'espère juste que Gainey appuiera pas sur la gachette trop vite en laissant partir Halak vers un autre club. On le voit là, Price n'est toujours pas prêt à prendre les commandes de l'équipe et lorsqu'il est laissé de côté, ça pas l'air de lui déchirer le coeur. Ok c'est bon pour l'esprit d'équipe mais tsé, un moment donné faut pas se faire des accroires.

Parce que quand je pense à Carey, j'ai cette pensée qui me traverse l'esprit...

















Ja souis André Racicot !

Sa carrière ne fait que débuter mais c'est boiteux depuis la saison dernière et le Canadien perd plus souvent qu'autrement lorsqu'il devant le filet...ben en tout cas, cette année.

C'est pas la meilleure chose de comparer des équipes mais les Thrashers n'ont pas été vargeux en défensive mais Pavelec faisait des gros arrêts devant des jeux qui étaient sur le bord d'aboutir. En plus de ça, Kovalchuk et Hainsey étaient absents.

Les défenseurs des Canadiens ont été faibles oui, mais faut pas juste crisser le blâme sur tous le monde sauf Le Racicot Nouveau. Price et André Cossette (voici pourquoi je parle d'André) ont besoin d'une couple de bons coups de poing au visage gracieuseté de

Doug Janik, tabarnak.

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