jeudi 10 décembre 2009

Fausse joie

J'avais besoin d'un remontant ce soir après une autre mésaventure avec 5 demoiselles manquant d'ambition dans la vie. Mes poignets ont été durement affectés par le port de menottes qui s'étira pendant un très long moment. Mon moral semblait niveler par le bas en pensant que je ne pourrais pas écrire aussi vite que je le voulais.

Finalement, mon sort s'est amélioré. Oui, tout ça en dedans de 5 minutes. Ma vie est un train à haute vitesse. Cligne des yeux et tu manques tout. En voyant les choses prendre du mieux, j'ai été visité RDS.ca et un titre d'article a capté mon attention et j'ai commencé a avoir des palpitations et des sueurs froides. Ma vue s'embrouillait. Donc, j'ai finalement baissé la température du thermostat et j'ai repris place devant mon ordinateur.

Le titre dont je parlais précedemment était "Bilodeau est prêt comme jamais".

Vous devez comprendre que je pense hockey pendant la majorité de la journée, profession d'auteur de récits sur ce sport oblige. Mon esprit a fait ni un, ni deux et Brent Bilodeau était la première personne a qui j'ai pensé.

"Brent qui ?!" me direz-vous.

Brent lui.













Bilodeau fut immortalisé sur cette carte lorsqu'il appliqua une mise en échec douteuse. Brent devait avoir autre chose en tête lorsque ses entraîneurs parlaient de mises en échec. Premier choix des Montréal en 1991, il n'a jamais rien fait qui vaille dans la Ligue Nationale. En fait, il a rien fait du tout dans la LNH. Fuck all mes amis.

Mais vous savez, il y a de ces gens qui percent dans la ligue des pros alors que personne ne voulaient leur donner de chances. J'ai cru que Brent allait sortir de sa retraite pour tenter de combler le vide gargantuesque que Doug Janik a laissé. Non, je ne dis pas que Brent PEUT remplacer Doug, c'est même pas envisageable. J'ai donc cliqué sur le lien pour me rendre compte que ça parlait d'un skieur. Je me souviens pas du type de ski qu'il pratiquait et honnêtement, je m'en crissais ardemment parce que c'était pas un article de hockey et dans ce temps là, tu te dis que ça vaut pas une crucifix de cenne.

De toute manière, aucun "skieur" arrive à la cheville de

Doug Janik, tabarnak.

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